Le mouvement prône le planisme en matière économique, et l'antifascisme accompagné d'une certaine teinte antiparlementaire en matière politique. Emmanuel Mounier, peu porté vers le combat politique, se retire du mouvement lorsque celui-ci se rapproche du Front commun contre le fascisme de Gaston Bergery. Finalement, les deux organisations fusionnent lors des Assises nationales à Lyon les 3 et . Le nouveau parti prend alors le nom de Parti frontiste pour se démarquer de l'alliance entre le PC et la SFIO.