Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Agly et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « complexe lagunaire de Salses » et le « complexe lagunaire de Salses-Leucate »), un espace protégé (« le Bourdigou ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].
Hydrographie
La commune de Torreilles est traversée par un fleuve, l'Agly, une rivière, le Bourdigou, ainsi que par deux canaux hydrauliques d'irrigation, l'Agulla dels Cirerers et l'Agulla de l'Auca.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
La ville est traversée par la Vélittorale qui conduit du Barcarès à Canet-Plage[8]. Au niveau de sa frontière avec Saint-Laurent-de-la-Salanque se trouve également la voie verte de l'Agly, reliant le Barcarès à Rivesaltes, plus dans les terres[9].
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 547 mm, avec 5,3 jours de précipitations en janvier et 2,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 554,7 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Statistiques 1991-2020 et records TORREILLES (66) - alt : 7m, lat : 42°45'18"N, lon : 2°58'41"E Records établis sur la période du 01-01-1983 au 26-01-2024
Un espace protégé est présent sur la commune :
« le Bourdigou », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 73,9 ha[17],[18].
le « complexe lagunaire de Salses », d'une superficie de 7 818 ha, une zone littorale associant des milieux dunaires caractéristiques du littoral roussillonnais et des milieux humides littoraux. Elle comporte plusieurs bassins différemment alimentés en eau ce qui favorise l'installation de formations végétales très variées, tant aquatiques, herbiers de Zostère naine, tapis de charas, que palustres, sansouires, roselières, scirpes, jonçaies[21] et au titre de la directive oiseaux[20]
le « complexe lagunaire de Salses-Leucate », d'une superficie de 7 701 ha, comprend un ensemble de zones humides périphériques plus ou moins salées (sansouires, roselières) et plusieurs îlots suffisamment isolés et quelques espaces dunaires qui constituent des espaces de grand intérêt pour la nidification de diverses espèces de grand intérêt patrimonial (Butor étoilé, Sterne naine...)[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[23] :
l'« embouchures de l'Agly, du Bourdigou et de l'Auque » (488 ha), couvrant 4 communes du département[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[23] :
le « lido et marais de Toreilles » (703 ha), couvrant 4 communes du département[25].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Torreilles.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Torreilles est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Laurent-de-la-Salanque[Note 5], une agglomération inter-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 4],[I 5].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[26]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (60 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,3 %), zones urbanisées (6,2 %), zones humides côtières (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,2 %), cultures permanentes (2,7 %), eaux maritimes (0,9 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant 43 communes du bassin de vie de l'agglomération perpignanaise, un des 31 TRI qui ont été arrêtés le sur le bassin Rhône-Méditerranée. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[31]. Du fait de son exposition marine, la commune est soumise également à un risque d'érosion fort et de submersion marine, due à l'action conjuguée de la montée des eaux par surélévation du plan d’eau lors des tempêtes attaquant la côte et de l’action dynamique de la houle[32].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations[35].
Carte des zones inondables.
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Dans le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, les barrages de Caramany sur l'Agly ou de Vinça sur la Têt[36].
Toponymie
Formes du nom
Le nom apparaît dès 956 sous la forme Turrilias. Du Xe au XIIe siècle, cette graphie coexiste avec Torrelias. En 1122, on trouve aussi la forme actuelle en catalan, Torrelles[37].
De nos jours, en catalan, le nom de la commune est Torrelles de la Salanca[38].
Étymologie
La Torre désigne bien sûr une tour ou un ouvrage défensif, mais aussi par extension toute maison rurale dotée d'une tour de refuge. Le suffixe latin -ellu (que l'on retrouve aussi dans le nom de Saleilles, à proximité) est un diminutif. Mis au pluriel sous la forme Les Torrelles, le nom peut alors désigner un ensemble de petites fermes équipées de tours défensives ou de refuge[37].
Histoire
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Politique et administration
Administration municipale
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Évolution de la population
1365
1378
1470
1515
1553
1643
1709
1720
1730
68 f
23 f
28 f
25 f
16 f
33 f
117 f
119 f
123 f
Évolution de la population, suite (1)
1755
1767
1774
1789
1790
-
-
-
-
147 f
780 H
686 H
182 f
950 H
-
-
-
-
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN2-222-03821-9))
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2021, la commune comptait 3 821 habitants[Note 8], en évolution de +0,61 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 283 personnes, parmi lesquelles on compte 76 % d'actifs (64 % ayant un emploi et 12 % de chômeurs) et 24 % d'inactifs[Note 11],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 1 003 emplois en 2018, contre 860 en 2013 et 789 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 481, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,1 %[I 12].
Sur ces 1 481 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 316 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 86,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
423 établissements[Note 12] sont implantés à Torreilles au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
423
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
129
30,5 %
(8,7 %)
Construction
47
11,1 %
(14,3 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
120
28,4 %
(30,5 %)
Information et communication
4
0,9 %
(1,9 %)
Activités financières et d'assurance
6
1,4 %
(3 %)
Activités immobilières
17
4 %
(6,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
31
7,3 %
(13 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
32
7,6 %
(13,9 %)
Autres activités de services
37
8,7 %
(8,5 %)
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,5 % du nombre total d'établissements de la commune (129 sur les 423 entreprises implantées à Torreilles), contre 8,7 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :
Florette Food Service France, autre transformation et conservation de légumes (55 716 k€)
Camtor, terrains de camping et parcs pour caravanes ou véhicules de loisirs (1 698 k€)
Calypso, terrains de camping et parcs pour caravanes ou véhicules de loisirs (1 119 k€)
Mexi-Can, restauration traditionnelle (308 k€)
EURL Alvaro JB, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (266 k€)
La commune est dans la « plaine du Roussillon », une petite région agricole occupant la bande côtière et une grande partie centrale du département des Pyrénées-Orientales[58]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 162 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 73 en 2000 puis à 29 en 2010[60] et enfin à 27 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 83 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 73 % de ses exploitations[61],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1030 ha en 1988 à 549 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 20 ha[60].
Un blockhaus situé plage nord, datant de la Seconde Guerre mondiale, est monument historique.
Église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse de Torreilles
Église Sainte-Marie de Juhègues
Personnalités liées à la commune
Joseph Guiter, né à Torreilles (Roussillon) le et mort à Paris le , homme politique, membre de la Convention, député au Conseil des Cinq-Cents, au Corps législatif de l'an VIII à l'an XI et représentant à la Chambre des Cent-Jours.
Louis Blasi (1891-1944) : résistant français né à Torreilles et fusillé par les Allemands le à Sainte-Radegonde, Aveyron. Il a donné son nom à la place principale de Torreilles, la Place Louis Blasi ;
Joseph Sayrou (1898-1974) : joueur français de rugby à XV mort à Torreilles, a donné son nom au stade municipal de Torreilles ;
Lucie Brunet (1990-) : plus connue sous le nom de Luce, elle a été révélée au public par l'émission de télévision française Nouvelle Star, dont elle a remporté la huitième édition le .
Héraldique
Blason
D’or aux trois tours d’azur maçonnées de sable, ouvertes et ajourées du champ.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Laurent-de-la-Salanque comprend deux villes-centres (Le Barcarès et Saint-Laurent-de-la-Salanque) et deux communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[59].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bMichel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN2-7399-5066-7).