Très vite, le groupe se réoriente vers le rhythm and blues. En , il enregistre pour le label indépendant Red Robin Records. Le titre Can't Do Sixty No More atteint les charts R & B.
Ces débuts prometteurs attirent RCA Victor qui, après deux nouveaux tubes, redirige en 1954 les Du Droppers vers sa filiale Groove Records. Mais le groupe peine à renouer avec le succès, malgré un titre « crossover » avec la chanteuse pop Sunny Gale.
En 1955, Caleb Ginyard quitte le groupe pour retourner au Gospel et rejoint le Golden Gate Quartet, provocant ainsi la fin des Du Droppers. À l'image d'autres quartets vocaux tels que les Ray-O-Vacs, le groupe est représentatif des débuts du doo-wop avec un son encore marqué par l'utilisation des instruments de jazz.