Son enfance est marquée par les années d’Occupation. Il déclare[1]« J’ai vécu l’occupation allemande, la guerre civile pendant mon adolescence dans le Péloponnèse. Je parlerais à propos du «côté montagnard» d’une capacité à tenir le coup face à l’ adversité ». Vers 1950 il s’installe à Athènes et fait des études cinéma. il écrit les scénarios de plusieurs films de Théo Angelopoulos.
Ses récits sur les réalités passées et actuelles de la Grèce sont fréquemment traduits à l’étranger.
Il traduit en grec moderne de tragédies antiques, notamment Eschyle et Euripide[2].
Il travaille en permanence le forme de ses textes « Couler des mots dans une forme inventée, nouvelle à chaque livre était une passion tyrannique » écrit Florence Noiville[3]. Dans le Dictionnaire mondial des littératures, sa technique est précisée[4]« il utilise dans ses romans une technique narrative originale reposant sur le témoignage, à travers laquelle il aborde certains thèmes privilégies : la guerre civile... »
↑Florence Noiville, « Thanassis Valtinos et TakisThéodoropoulos : la liberté, la terreur et le mythe
Deux textes incisifs et drôles traduits du grec. », Le Monde,
↑Florence Noiville, « La mort de Thanassis Valtinos, grande voix de la littérature grecque », Le Monde, , p. 24 (lire en ligne)
↑« Thanassis Valtinos », dans Dictionnaire mondial des littératures, Larousse,