Six sièges étaient réservés dans la loi électorale de 1995 pour les chrétiens et un pour les Samaritains. Pour les élections de 2006, ce dernier siège a été supprimé, seuls ceux des Chrétiens ont été maintenus[1].
Par ailleurs, le Décret présidentiel 10/2005 du établit un quota confessionnel pour
quelques localités historiquement ou majoritairement chrétiennes. A Ramallah, le maire doit ainsi être de confession chrétienne[2]. Le conseil municipal de Bethléhem (15 membres élus dont le maire et le vice-maire) doit compter une majorité de chrétiens, dont le maire et le vice-maire.