Le siège de Glogau se déroule du au , pendant les guerres de la sixième coalition. La garnison française, forte de 5 000 hommes[1],[2] et commandée par le général Laplane est assiégée et finit par capituler face à un corps de siège prusso-russe d'environ 21 000 hommes[1],[2] sous les ordres du lieutenant-général baron Rosen.
Contexte
Après la retraite de Russie, les troupes françaises évacuent la Pologne, ne laissant que des garnisons dans de nombreuses places fortes, entre autres, sur l'Oder. Pendant la première moitié de 1813, la ville de Glogau est assiégée par les troupes russes commandées par un émigré français, le général de Saint-Priest[1]. Celles-ci lèvent le siège le [1].
Déroulement
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Conséquences
La garnison française capitule avec les honneurs de la guerre[1]. Les éléments croates et allemands de la garnison sont autorisés à rentrer chez eux. Les Français marchent vers la France après avoir promis de ne plus porter les armes contre les alliés pendant un an[1].
(en) Digby Smith, The Greenhill Napoleonic Wars Data Book : Actions and Losses in Personnel, Colours, Standards and Artillery, 1792-1815, Londres, Greenhill Books(en), , 582 p. (ISBN1-85367-276-9).
Hemmann, Thomas: Die Blockade von Glogau in: Hemmann, Thomas; Klöffler, Martin: Der vergessene Befreiungskrieg - Belagerte Festungen zwischen Memel und Rhein in den Jahren 1813-1814; Norderstedt, BOD (Books on Demand GmbH) (2018) 632 pages, SBN 978-3-7448-6682-8