Dans leur ouvrage Histoire de la France coloniale[1], Gilbert Meynier et Jacques Thobie précisent que La Rose du souk - « rebaptisé Sirocco pour le public français » - est dû à la collaboration de Jacques Séverac et de Mohammed Mammeri, ajoutant qu'il s'agit du premier film parlant arabe.
Jean Barreyre, Pour vous, no 162, 24 décembre 1931, p. 6
Pierre Boulanger, Le Cinéma colonial, de L'Atlantide à Lawrence d'Arabie (chapitre IV : « Roses des souks et fleurs de harem »), préface de Guy Hennebelle, Cinéma 2000/Seghers, 1975