Le , le Conseil économique, social et environnemental a jugé « très insuffisant » l'impact écologique des projets de l'Etat. Le total des investissements concentrées à travers ce plan se chiffre à 254 milliards d'euros [2]. Une grande partie de cette somme est allouée à la construction de Ligne à grande vitesse.
Le , le ministre des transports Frédéric Cuvillier annonce sa refonte pour 2013 avant de prioriser les différents projets[3] et de baisser le coût global.
Le , le contenu du SNIT correspond à des projets dont le coût a été évalué à près de 245 milliards d'euros sur 25 ans. Il est en cours de révision par la « commission Mobilité 21 » chargée de trier, hiérarchiser, et mettre en perspective ces grands projets infrastructures[4].