Dans la décennie 1840, il visite l’Étrurie avec George Dennis. Issu de ce voyage, un livre est publié en 1848 sous le nom de Cités et cimetières d’Étrurie[2].
La note fondamentale de ses œuvres est souvent celle de la « solitude dépeuplée »[3].
Massimo Pallottino, L'Étrurie de S. J. Ainsley, paysagiste romantique, Comptes-rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, 1984, vol. 128, no 3, p. 497-505
Etruria unveiled. the drawings of samuel james ainsley in the british museum / etruria svelata. i disegni di samuel james ainsley nel british museum, Roma Elefante, 1984
1846-1848 - Letters to Thomas Cole from artists Jasper F. Cropsey, William A. Adams, Samuel James Ainsley, Robert Walter Weir, Asher B. Durand, and Daniel Huntington; W. Spencer; and others