Selon la tradition chrétienne, ce sépulcre est le lieu du tombeau de Jésus qui est d'après les Évangiles fermé par une pierre roulante[1]. Probablement précédée d'un vestibule correspondant à l'antichambre où le corps du défunt était lavé, enduit d'onguents parfumés et enveloppé d'un linceul, cette tombe en hypogée est constituée à l'époque du Second Temple d'une chambre funéraire à hauteur d'homme avec un ou plusieurs kokha, un arcosolium (niche semi-circulaire) ou quadrosolium (niche à toit plat) surmontant un plateau faisant office de lit funéraire[2], ce dernier pouvant avoir à sa tête une sorte de coussinet et à ses pieds un exhaussement[3],[4]. Selon l'Évangile selon Matthieu, c'est Joseph d'Arimathie qui aurait offert son propre tombeau pour Jésus[5]. Pour le théologien Raymond Edward Brown, il semble pourtant vain de vouloir localiser le tombeau de Jésus d'après les textes évangéliques : la péricope de la mise au tombeau dans le sépulcre de Joseph d'Arimathie est en effet un récit à l'historicité fort douteuse et probablement un embellissement théologique[6],[7]. De plus, toutes les localisations du IVe siècle des lieux associés à la vie de Jésus sont sujettes à caution[8].
Histoire du Saint-Sépulcre
L'édicule : de l'église constantinienne à aujourd'hui
En 325, suivant la demande de l'évêque Macaire, l'empereur Constantin envoie l'architecte Zénobie à Jérusalem, qui commence à attirer des pèlerins chrétiens. Il y fait araser le rocher sépulcral, dégageant ainsi le tombeau supposé de Jésus de Nazareth et construit à la place un ensemble de bâtiments destinés à glorifier la mort et la résurrection du Christ[10],[9]. Au centre de la rotonde, Constantin aurait déjà fait construire un ciborium, édifice destiné à renfermer le tombeau, appelé en grecKouvouklion (Kουβούκλιον ; « petit compartiment ») ou édicule (du latin : ædiculum, « petit bâtiment »), mais il n'est actuellement pas possible de vérifier ce fait, même si certaines ampoules de Monza(en) représentent sur leurs faces le ciborium du Saint-Sépulcre[11]. Dans les années qui suivent, une série de bâtiments commémoratifs dessinent un parcours à travers lequel les pèlerins se glissent dans la vie, la mort et la résurrection du Messie[10]. La dédicace de l'ensemble (Anastasis et Martyrium) est célébrée solennellement le [9].
En 614, la ville est mise à sac au terme d'un siège de trois semaines par les Perses sassanides. À cette occasion, l'Anastasis et le Martyrium subissent de graves dommages et le général Schahr-Barâz emporte la Vraie Croix dans son butin[12].
Au Moyen Âge, le Saint-Sépulcre est le lieu de pèlerinage par excellence : une destination prestigieuse de pèlerinage pour la chrétienté occidentale. Jérusalem est alors sous domination musulmane depuis le VIIe siècle. Les musulmans réservent la basilique de la Résurrection, où se trouve le Saint-Sépulcre, au culte chrétien en prélevant un droit d'entrée lucratif auprès de chaque pèlerin, taxe qui finira par irriter ces derniers dont le nombre ne cesse de croître[13].
Au début du XIe siècle, en 1009, à la suite d'autres bâtiments chrétiens comme le monastère de Sainte-Catherine du mont Sinaï, la basilique de la Résurrection est détruite par le calife fatimideAl-Hakim qui, se pensant investi d'une autorité divine, persécute chrétiens, juifs et certains musulmans[14]. À partir de 1027, les relations entre l'Empire byzantin et les califes s'améliorent, permettant un accord entre l’empereur Michel IV et le calife Al-Mustansir Billah sur la restauration des lieux saints. L’église est reconstruite grâce à des collectes à travers la chrétienté et aux donations de l’empereur byzantin. Le travail est achevé en 1048 sous Constantin IX Monomaque[15].
Cinquante ans plus tard, la première croisade est prêchée en Europe à partir de 1095. L'église de la Résurrection, si elle est en mauvais état, n'est ni spoliée ni profanée[14]. À la suite de la reconstruction du XIe siècle, l'édicule abritant le tombeau du Christ est remodelé, notamment par les pères franciscains, Boniface de Ragusa(en) en 1555 puis Elzearn Horn en 1728, mais garde sensiblement le même aspect[16].
La rotonde médiévale est à nouveau détruite par un incendie qui ravage le Saint-Sépulcre en 1808. L’effondrement du dôme brise les décorations extérieures de l'édicule. La Russie obtient la permission des autorités turques de réaliser la restauration au nom de l'Église orthodoxe dont les fidèles financent les travaux. La rotonde et l'extérieur de l'édicule sont reconstruits entre 1809 et 1810 par Nikolaos Komnenos, architecte grec natif de Mytilène[17], selon un style architectural ottomanbaroque[18]. « L'Édicule est couvert par un toit plat surmonté d'un dôme central de style moscovite en forme d'oignon soutenu par des colonnes. Les côtés latéraux sont décorés d’inscriptions grecques qui invitent les peuples et les nations à louer le Christ ressuscité. Derrière les chandeliers des différentes communautés, la façade de l'Édicule est entourée par des colonnes torsadées, des guirlandes, des corniches, des inscriptions, des tableaux et des lampes à huile »[19].
Les plaques de marbre rouge posées contre l'édicule par Komnenos se désolidarisent progressivement en raison de l'afflux quotidien de milliers de pèlerins et touristes, dont le souffle augmente l'humidité ambiante et altère les mortiers[18]. Il est notamment soumis aux intempéries à travers un oculus alors ouvert sur le ciel dans le dôme jusqu'en 1868, date à laquelle une nouvelle coupole en fer est achevée et l'oculus couvert[20]. Derrière le Saint-Sépulcre, dans la minuscule chapelle copte qui touche l'édicule, les cierges qui se consument à quelques centimètres de l'édicule provoquent de fortes contraintes thermiques sur le marbre, et d'épais dépôts noirs et huileux. Le séisme du a fragilisé l'ouvrage. S'affaissant sous son propre poids et se détachant de la structure sous-jacente, il a été maintenu en place par une structure métallique extérieure, installée par les Britanniques en . Cette ceinture de poutres d'acier portait l'inscription « Steel Company of Bengal »[21]. Les Britanniques n'ont cependant pas eu le temps d’obtenir l’adhésion des Églises pour une restauration, la Guerre israélo-arabe de 1948-1949 mettant fin à leur mandat. En raison du statu quo, aucun projet ne fut envisagé pour sa rénovation jusqu'en 2016.
L'ouverture et la restauration du tombeau en 2016
À l’occasion des travaux de restauration conservative sur l’édicule débutés en [22], le patriarche grec-orthodoxe de Jérusalem autorise les membres de l'université polytechnique nationale d'Athènes à contrôler l'état de la tombe afin de vérifier qu'elle est suffisamment protégée pour procéder aux injections de mortier nécessaires aux travaux. Du 26 au , ils procèdent au retrait de la plaque de marbre[23], mettent au jour une autre plaque de marbre qui daterait du XIIe siècle (correspondant à l'époque des croisés comme le suggère la croix gravée sur cette dalle)[24] puis la pierre originelle du tombeau[25]. Telle la fenestella confessionis pour vénérer les reliques, une fenêtre rectangulaire[26] est découpée dans une plaque de marbre de revêtement de l'édicule, afin de permettre aux pèlerins d'entrevoir une partie du calcaire « meleke » dans lequel a été creusée la tombe[27].
Selon le magazine National Geographic, partenaire de ces recherches, la mise au jour du « lit funéraire va fournir aux chercheurs une occasion sans précédent d'étudier la surface d'origine de ce qui est considéré comme le site le plus sacré du christianisme ». L'historienne des religions Marie-Françoise Baslez avertit cependant qu'il ne faut pas s'attendre « à trouver des indices historiques sur la présence de Jésus dans la tombe » car elle « a été arasée et transformée bien des fois au cours de l’histoire[28] ».
Le montant des travaux de réhabilitation (pierres démontées, numérotées, nettoyées, remontées et fixées avec des vis en titane, fresques à l'intérieur et peintures sur bois du dôme restaurées, structure métallique qui soutenait l'édicule retirée) est estimé à trois millions et demi d’euros[29]. Le tombeau restauré est rouvert au public le ; une cérémonie œcuménique marque la fin du chantier[30].
Description du tombeau
Au centre de la Rotonde se trouve l'édicule qui a pour dimensions 8,25 mètres de long, 5 mètres de large et 5 mètres de haut. Ses parois latérales, ornées de seize pilastres, supportent une petite terrasse à balustrade en colonnettes, surmontée d'une petite coupole en oignon.
L'entrée de l'édicule est précédée de grands cierges plantés dans des candélabres de bronze et d'argent et sa façade est ornée d'une peinture du Christ (scène de la Résurrection, tableau de Paolo de Matteis[32]) cachée en partie derrière un rideau de lampes à huile. Cette entrée est gardée par un prêtre grec orthodoxe, le statu quo reconnaissant de facto la prééminence, toujours actuelle, du Patriarcat orthodoxe sur les autres communautés[33]. Devant l'afflux de personnes, la visite est très réglementée : file d'attente, timing assuré par un factionnaire qui presse les visiteurs et pèlerins à avancer, le prêtre pouvant aller jusqu'à réclamer des offrandes[34]. Le tombeau du Christ, couvert d'ex-votos et à la voûte percée (l'orifice a pour fonction d'évacuer la fumée des lampes, des cierges et de l'encens) et ornée de lampes éternelles suspendues, comprend deux pièces successives, comme dans les sépultures juives de gens aisés de l'époque du Second Temple :
La chapelle de l’ange, vestibule de 3,5 mètres de long et quatre mètres de large[35] où selon la tradition se tenait l’ange de l'Annonciation de la Résurrection[note 1]. Cette pièce correspondant peut-être à une antichambre où le corps était préparé (lavé, parfumé, embaumé), est ornée de panneaux sculptés en marbre blanc alternés par des colonnes et des piliers. Elle n'est pas creusée dans la roche naturelle mais est entièrement maçonnée, l'antichambre originale ayant déjà été détruite du temps de Constantin, qui pensait créer un espace en face de la chambre funéraire sans murs et entouré de balustrades[36]. Entre les deux salles basses, une porte en marbre blanc, ornée d'un bas-relief de la Résurrection, symbolise l'entrée de la chambre funéraire scellée la pierre roulée[note 2] par Joseph d'Arimathie à l'entrée du sépulcre[37].
La chambre du Sépulcre, chapelle du tombeau proprement dite, est taillée dans la pierre « meleke » pour ses murs nord et sud, ses murs est et ouest étant bâtis[36]. La pièce est recouverte par des plaques de marbre blanc et des piliers de marbre rouge. Du plafond ouvert sur la coupole sont suspendues 43 lampes votives appartenant aux différentes communautés qui gardent le tombeau. La chambre contient dans sa partie nord (à droite) un arcosolium avec une table de pierre posée à 60 cm au-dessus du pavé[note 3] sur laquelle aurait été déposé le corps du Christ. Sur la plaque de marbre, est posé un vase rempli de bougies qui marque l'emplacement de sa tête, comme le relatent les voyageurs en Terre sainte dès le XIXe siècle[38]. Le mur au-dessus de la dalle est orné d'ex-votos, peintures encadrées et bas-reliefs incrustés d'argent représentant le triomphe du Christ Ressuscité qui sort du Sépulcre[39].
Authenticité du tombeau
Récits antiques
Suivant les récits d'Eusèbe de Césarée, hagiographe de l'empereur Constantin, et de Socrate le Scolastique, écrivain du Ve siècle, l'endroit aurait déjà été considéré comme le lieu de la crucifixion et de sépulture de Jésus de Nazareth avant les fouilles et la construction d'une église (la première datant de 335) entreprise par Constantin. La communauté se serait toujours souvenue du lieu, même lorsque le site fut recouvert par le temple d'Hadrien. En réalité, aucun lieu de culte chrétien, pas même le Golgotha, n'est historiquement attesté à Jérusalem avant le IVe siècle[40]. La redécouverte « miraculeuse » du sépulcre par sainte Hélène suggère cependant l'existence d'une tradition ancienne fermement conservée par la communauté chrétienne de Jérusalem concernant l'emplacement approximatif du tombeau de Jésus[41].
Eusèbe de Césarée insiste en particulier sur la découverte du tombeau : « Il est offert à tous ceux qui viennent pour en être les témoins visuels, une preuve claire et visible du miracle dont ce lieu a été la scène »[42]. La construction de l'édicule, qui a subi plusieurs destructions et ravages, est en peau d'oignon : une couche historique sur l’autre et la dernière les couvrant toutes. D'où l'hypothèse de l'archéologueMartin Biddle(en) de l’université d'Oxford, que si l'édicule marque l'emplacement du tombeau, cette « preuve claire et visible » pourrait être celle de pèlerins chrétiens qui ont pu y inscrire, avant la construction du temple romain, un graffiti du type « c'est le Tombeau du Christ » (à l'instar des graffiti chrétiens anciens toujours visibles dans les catacombes de Rome)[43].
À partir du XIXe siècle, un certain nombre d'érudits a contesté le fait que le Saint-Sépulcre puisse être le site réel de la crucifixion de Jésus et de son inhumation. Ils soutinrent que l'église se situant à l'intérieur des murailles ne pouvait être le lieu de ces événements que les textes bibliques (par ex. He 13,12) placent à l'extérieur des murs.
En 1883, le général Charles Gordon identifia un tombeau dans une paroi rocheuse d’une région cultivée, à l'extérieur des murs. Il le considéra comme le site le plus probable de l'ensevelissement de Jésus. Il suggéra ainsi le jardin de la Tombe, situé au nord du Saint-Sépulcre dans les environs de la porte de Damas et datant de la période de l'Empire byzantin. Cela correspondrait à la description de Jean (19:41) : « Or il y avait un jardin au lieu où il avait été crucifié, et dans ce jardin un tombeau neuf ». Cette hypothèse est aujourd'hui écartée.
Dans le jardin, on peut trouver un rocher escarpé qui contient deux grandes cavités qui ressemblent étrangement à des yeux de tête de mort.
Ce lieu est habituellement appelé le jardin de la Tombe afin de le distinguer du Saint-Sépulcre. Il reste toujours un lieu de pèlerinage (habituellement pour les protestants) pour ceux qui doutent de l'authenticité de l'Anastasis ou bien pour ceux qui n'ont pas la permission de se recueillir dans l'église.
L'archéologie démontre que la ville a connu trois extensions au « nord ». Elles ont donné lieu à autant de remparts successifs. Ces enceintes étaient encore visibles en l'an 70. Flavius Josèphe en témoigne et les décrit avec précision. Le premier rempart fut construit par le roi Ézéchias, à la fin du VIIIe siècle av. J.-C. Le second a été construit par les Asmonéens dans la deuxième moitié du IIe siècle av. J.-C.
La troisième muraille a été étendue par Hérode Agrippa Ier en 41-44 et entoura seulement le site du Saint-Sépulcre, alors qu’à la même époque les jardins environnants évoqués dans le Nouveau Testament auraient dû y être intégrés aussi. Ainsi le Saint-Sépulcre pourrait bien s'être trouvé à l'extérieur des remparts au temps de Jésus.
XXe siècle
Contrairement aux débats enflammés du XIXe siècle, la controverse sur l'authenticité de ce lieu intervient peu dans les débats académiques au XXe siècle, les chercheurs et historiens se penchant plus sur l'élaboration et l'interprétation de strates de traditions orales ou écrites au sujet du tombeau de Jésus[44].
Martin Biddle explique que les chercheurs opèrent un décentrement de la question du tombeau de Jésus vers celle du tombeau du Christ, rappelant qu'il est « presque inconcevable que l'archéologie puisse jeter toute la lumière sur la vie et la mort d'un personnage relativement insignifiant en Palestine au Ier siècle »[43].
L'Anastasis, association nationale des Saint-Sépulcres français, a entrepris de recenser les répliques et mémoriaux du Saint-Sépulcre en France, afin de les faire connaître et de remettre en valeur leur destination spirituelle[47].
Bâtiments annexes
Autour de l'église elle-même se déploient de nombreux bâtiments annexes, mélanges de différentes époques et reflets des usages liturgiques et de la multiplicité des communautés chrétiennes qui y vivent.
Un vaste cloître situé à l'est du chevet fut construit par les croisés, encadrant la chapelle de sainte Hélène. Il était destiné à accueillir les espaces d'habitation du patriarche latin et des chanoines desservant l'église. Il est aujourd'hui en partie muré et ruiné, divisé en deux pour séparer les coptes et les abyssins qui y vivent, mais quelques vestiges sculptés originaux du milieu du XIIe siècle demeurent encore visibles[48].
Notes et références
Notes
↑Sur un piédestal, et enchâssé dans un cadre de marbre blanc, serait exposé un fragment de la Pierre sur laquelle l'Ange était assis, pierre qui selon la tradition fermait l'entrée de la tombe et qui fut conservée dans son intégralité à l'intérieur de la basilique jusqu’à sa destruction de 1009.
↑Pierre ronde (golel ou golal en hébreu, pluriel golalim), forme pratique pour ouvrir et fermer souvent la tombe. En effet, à l'époque du Second Temple, les corps étaient soumis à une inhumation primaire (décomposition du cadavre dans un loculus de type Kokh, arcosolium ou quadrosolium de la chambre funéraire), puis à une inhumation secondaire, l’ossilegium qui consiste à regrouper les os du mort dans un ossuaire lorsque le corps était décomposé. La tombe était ainsi régulièrement utilisée pour les futures inhumations familiales. Cf. Estelle Villeneuve, Jean Radermakers et Jean Vervier, La découverte du tombeau de Jésus, Éditions Fidélité, , p. 10.
↑Ce banc funéraire de marbre blanc d'1,89 m, de 12 cm d'épaisseur et pesant 600 kg, date peut-être de 1345. Il recouvre désormais la pierre originale. Du temps des croisés, les pèlerins pouvaient toucher et baiser la roche du banc funéraire par trois ouvertures laissées dans le marbre. Cf. (en) Shimon Gibson et Joan E. Taylor, Beneath the Church of the Holy Sepulchre, Jerusalem : the archaeology and early history of traditional Golgotha, Palestine Exploration Fund, , p. 6.
↑(en) Raymond Edward Brown, The death of the Messiah, from Gethsemane to the grave. A commentary on the, Passion narratives of the four Gospels, Doubleday, , p. 1224.
↑ ab et c« Le martyrologe romain fait mémoire de la dédicace des basiliques de Jérusalem », Magnificat, no 238, , p. 171.
↑ ab et cJacques Briens, « La Jérusalem byzantine reconstituée », dans Le Monde de la Bible, hors-série trois religions à Jérusalem, automne 2008, p. 32-34.
↑(en) James H. Charlesworth, The Tomb of Jesus and His Family? Exploring Ancient Jewish Tombs Near Jerusalem's Walls, Wm. B. Eerdmans Publishing, , p. 25.
↑Jean Flori, Les Croisades, Éd. Le Cavalier Bleu, coll. « Idées Reçues », 2010, p. 83.
↑ a et bJean Flori, Les Croisades, éd. Le Cavalier Bleu, coll. Idées Reçues, 2010, p. 34
↑« Reconstruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem sous Constantin IX Monomaque », dans Qantara, Patrimoine méditerranéen, Institut du Monde arabe, 2008 [lire en ligne].
↑Sélim Sayegh, Le Statu quo des Lieux Saints. Nature juridique et portée internationale, Libreria editrice della Pontificia università lateranense, , p. 261.
↑(en) Norman Wareham et Jill Gill, Every Pilgrim's Guide to the Holy Land, Canterbury Press, , p. 43.
(en) Roger Stalley, Early medieval architecture, éd. Oxford University Press, 1999.
(de) Martin Biddle et al., Die Grabeskirche in Jerusalem. Zeugnisse aus 2000 Jahren., éd. Belser, 2000.
(de) Jürgen Krüger, Die Grabeskirche zu Jerusalem : Geschichte - Gestalt - Bedeutung, éd. Schnell und Steiner, 2000.
(de) Paolo Piva, « Die „Kopien“ der Grabeskirche im romanischen Abendland. Überlegungen zu einer problematischen Beziehung »,dans Roberto Cassanelli (Hg.), Die Zeit der Kreuzzüge. Geschichte und Kunst, Stuttgart: Theis, 2000, S. 96-117.