Il fonctionne grâce à un système de circulation naturelle, fonctionnant sans pompes au sein du système de refroidissement, ce qui permet de réduire considérablement l'émission de bruits parasites. Contrairement à d'autres machineries, il ne fonctionne que grâce à une seule turbine, cylindrique, d'environ 12 pieds (3,7 m) pieds de diamètre et 30 pieds (9,1 m) pieds de long[1],[note 2].
La puissance produite par ces réacteurs est variable selon les sources. La Federation of American Scientist[2],[3], ainsi que le site Alternate Wars[4] indiquent qu'il produit un total de 60 000 SHP[note 3], soit selon Alternate Wars, un total de 220 MW. Or, par le calcul, 60 000 SHP devraient correspondre à près de 44,7 MW. À l'inverse, Magdi Ragheb indique une puissance totale de 35 000 SHP, soit environ 26,1 MW[1].
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « S8G reactor » (voir la liste des auteurs).
Notes
↑La Federation of American Scientist indique que le prototype est basé à Milton, non loin de Ballston Spa.
↑La Federation of American Scientist indique quant à elle deux turbines. Voir le dernier paragraphe pour ce qui est de la contradiction des données.
↑SHP signifie en anglais « shaft horsepower », ce qui correspond à la puissance s'exerçant sur l'arbre de transmission. 1 SHP ≈ 745,6998 W. Pour plus d'informations, voir cheval-vapeur et sa version anglaise.
Références
↑ ab et c(en)[PDF]Nuclear Marine Propulsion, document de Magdi Ragheb sur le site de Rensselaer at Hartford, consulté le 14 mars 2014.
↑(en) S8G Reactor, page dédiée à ce type de réacteur sur le site de la Federation of American Scientist, consultée le 14 mars 2014.