Après l’obtention de son titre de médecin en 1818 et son service militaire en Inde (1819), il devient chirurgien-assistant pour la Compagnie anglaise des Indes orientales à Madras, fonction qu’il conserve jusqu’en 1826[1].
Il devient alors naturaliste à l’Institut de botanique de Madras. En 1828 et jusqu’en 1831, il devient chirurgien auprès de la garnison britannique de la ville. En 1834, il devient chirurgien de ville. Puis à partir de 1836, il s'intéresse à la culture de certaines plantes, dont le tabac et le coton. À partir de 1851 jusqu'en 1853, il dirige une plantation de coton, dans une ferme expérimentale à Coimbatore[2]. Il devient membre de la Royal Society en 1855.
Il est notamment l’auteur d’Illustrations of Indian botany (deux volumes, 1841-1850), Icones plantarum Indiæ orientalis (six volumes, 1840-1856) et de Spicilegium neilgherrense (deux volumes, 1846-1851).
Références
↑(en) Henry J. Noltie, The Life and Work of Robert Wight, Édimbourg, Royal botanic garden, , 88 p. (ISBN978-1-906129-02-6)
↑« Obituary notices », Proceedings of the Linnean Society of London, , xliv-xlvii (lire en ligne)
Voir aussi
Bibliographie
(en) R. K. Basak, « Robert Wight and His Botanical Studies in India », Taxon, International Association for Plant Taxonomy (IAPT), vol. 30, no 4, , p. 784–793 (lire en ligne)
(en) Curtis' Botanical Magazine. 1931. Dedications and Portraits 1827-1927. Compiled by Earnest Nelmes and Wm. Cuthbertson .London: Bernard Quaritch Ltd.
(en) King Sir George. 1899. The Early History of Indian botany. Journal of Botany 37, no. 443.