Le comte Harley d'Oxford fut aussi une figure littéraire de son temps, qui a patiemment collationné d'anciennes pièces du folklore anglais, les Roxburghe Ballads[1]. Il subventionna à la fois l'October Club et le Scriblerus Club. Il est parfois avancé que la célèbre rue des médecins de Londres, Harley Street, lui doit son nom, bien qu'en l'occurrence le développement de ce quartier soit plutôt l’œuvre de son fils Edward Harley.
Références
↑Cf. B. Sweers, Electric Folk : The Changing Face of English Traditional Music, Oxford, Oxford University Press, , p. 31–8.
Bibliographie
(en) Brian W. Hill, Robert Harley : Speaker, Secretary of State and Premier Minister, New Haven : Yale University Press, 1988.
(en) E. S. Roscoe, Robert Harley, Earl of Oxford, Prime Minister, 1710-14, Londres : Methuen, 1902.