Étudiant un séisme au Guatemala, il observe en 1906 que les ondes sismiques P laissent une « zone d'ombre » à la surface de la Terre et que les ondes S ont un retard à l'arrivée pour des distances angulaires supérieures à 120−130°. Il en déduit que le centre de la terre, plus précisément le noyau, doit être liquide, ce changement de propriété étant à l'origine de la zone d'ombre et de la réfraction de ces ondes sismiques[3]. Il reçoit la médaille Lyell en 1908.