La coopération entre les deux pays en matière de partage d'expériences de développement passe principalement par le programme indien de coopération technique et économique (Indian Technical and Economic Cooperation Programme - ITEC), dans le cadre de laquelle quarante bourses sont accordées chaque année dans divers cours. En outre, certains experts sont également envoyés au Guyana de temps en temps sur demande dans des domaines d'activité spécifiques. Plusieurs autres bourses sont également offertes aux Guyaniens pour suivre des cours de longue durée, pour se familiariser avec l'Inde et pour apprendre la langue hindi en Inde[7],[8].
Le Centre culturel indien de Georgetown a été créé en 1972 dans le but de renforcer les relations culturelles et la compréhension mutuelle entre l'Inde et le Guyana et leurs peuples. Le centre organise régulièrement des cours de yoga et de danse (kathak). Le centre dispose d'un auditorium bien équipé où des événements culturels sont régulièrement organisés. Les enseignants et les étudiants participent à des événements organisés par la communauté locale à diverses occasions tout au long de l'année. Le centre dispose d'une bibliothèque avec des livres et des publications sur l'histoire, la littérature, l'art, la culture, la mythologie et les œuvres d'éminents chercheurs et auteurs[3],[9],[10].
Le cricket est un lien culturel important entre l'Inde et le Guyana. Avec l'avènement de la Premier League indienne, de nombreux joueurs guyaniens ont été engagés pour jouer en Inde[11].
↑(en) Johnson Research Associates et American University (Washington, D. C. ) Foreign Areas Studies Division, Area Handbook for Guyana, U.S. Government Printing Office, (lire en ligne), p. 203
↑(en) Daily Report: Near East & South Asia, The Service, (lire en ligne), p. 56
↑(en) Data India, Press Institute of India, (lire en ligne), p. 897
↑(en) Vibert C. Cambridge, Musical Life in Guyana: History and Politics of Controlling Creativity, Univ. Press of Mississippi, (ISBN978-1-62674-644-2, lire en ligne)
↑(en) Niko Besnier, Domenica Gisella Calabrò et Daniel Guinness, Sport, Migration, and Gender in the Neoliberal Age, Routledge, (ISBN978-0-429-75151-6, lire en ligne), p. 88