La puce Hengzhi est supposée implémenter des fonctionnalités similaires à la puce TPM, sans toutefois respecter les spécifications établies par le Trusted Computing Group. Elle répond à la volonté du gouvernement chinois d'utiliser des produits cryptographiques nationaux, plutôt que de dépendre de solutions développées à l'étranger et notamment aux États-Unis[2]. Les spécifications techniques de la puce étaient toutefois inconnues du public en [3].