Le prix Juliette-de-Wils, de la fondation Juliette Descours, est un ancien prix annuel de poésie classique créé en 1938 par l'Académie française[1].
Le prix est fondé, à titre posthume, à l'initiative de la dramaturge et poétesse Juliette de Wils[2].
Liste des lauréats
Années 1930 - 1940 - 1950 - 1960
Années 1930
- 1938 :
- Madeleine de Lanartic pour Pour nous deux
- Mlle Claude Maubernard pour Farandoles de poèmes
- 1939 : Jeanne Bernard-Arnoux pour Sous le regard de Dieu
Années 1940
- 1940 : Paul Lacour (1861-1953) pour Cent Fables
- 1942 : Jules Trohel pour Les Oraisons
- 1943 : Mme Le Garrec-Even pour Au bord des eaux
- 1944 : Jean Lebrau pour Sous le signe d'octobre
- 1945 : René Fernandat
- 1947 :
- Jules Chaix-Ruy (1896-1986) pour Reflets sur l'eau
- Suzanne Lainé pour Seigneur, j'ai crié vers vous
- 1948 : Alice Cluchier (1899-1987) pour Au rouet de l'amour
- 1949 : Paul Rispal pour À l'approche du soir
Années 1950
- 1950 : Lucie Rondeau-Luzeau pour Témoignage
- 1951 :
- Abbé J. Deschamps pour Rêveries, paysages, élévations...
- Madeleine Mordacq pour Aux jardins de la Loire
- 1952 : Hélène Seguin pour Au clavier de mon cœur
- 1953 : Lucie Rondeau-Luzeau pour Le Vent du soir
- 1954 :
- Léon Kochnitzky (1892-1965) pour Élégies congolaises
- Martial Marthon pour À l’ombre des châtaigniers
- Marie-Louise Vidal de Fonseca pour Symphonie fantasque
- Paul Zenner (1914-1980) pour Musique légère
- 1955 :
- Louise Chassagne pour Vespérales
- Diane de Cuttoli pour L’Horizon intérieur
- Claude Mirbel pour L’Ombre d’une fumée
- 1956 :
- Alice Cluchier (1899-1987) pour La Folle Ivraie
- Paul Gasc pour Anthologie
- Jules Tordjman pour Mémoire vive
- 1959 : Charles Tricou pour Allegro ma non troppo
Années 1960
- 1960 :
- Georges Belloni pour Les Chemins de gloire
- Claire Domal (1892-1972) pour L’Arbre en feu
- 1961 : Jean-Marie Fleury pour L’Amphore aux Étoiles
- 1962 : Paul Cardeilhac pour Rêveries premières et Nouvelles rêveries
- 1963 : Marguerite Grépon pour Les Insomniques
- 1964 : Marceau Prudhomme pour l'ensemble de son œuvre
- 1965 :
- Marie-Thérèse Gadala pour Sillages
- René Pichard du Page (1886-1966) pour Visages, paysages, messages
- 1966 : Maurice Courant pour Quand l’heure sonne, O Déraison !
- 1967 : Georges Labro pour L’Art informel
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes