Dans la logique de la série, le film est composé d'une série d'épisodes où Fantozzi subit des malheurs successifs :
la sortie du travail, où pour aller plus vite, il faut sauter par la fenêtre, mais sans rattrapage pour Fantozzi ;
les vacances à la neige, décalées par l'agence au mois de mai, et où, au lieu de sport, Fantozzi s'enferme dans une clinique diététique aux mœurs dictatoriales ;
son épouse vit une aventure avec Cecco, un rustre vulgaire, que Fantozzi fait parler et qui révèle ainsi ses vraies intentions ;
le directeur mort est remplacé par le vicomte Cobram qui demande à ses employés de concourir à vélo pour la première coupe Cobram ;
le directeur Piermatteo Barambani invite Fantozzi et Filini à une croisière (pour qu'ils lui servent de domestiques) ;
Fantozzi désire écrire dans le ciel que le président de Méga, Arcangelo, est un c.., mais c'est son propre nom qui apparaît finalement.
C'est la première fois que la réalisation est confiée à Neri Parenti, assisté de Villaggio ; cela se reproduira six fois. Les deux premiers, Fantozzi (1975) et Il secondo tragico Fantozzi (1976), avaient été réalisés par Luciano Salce. C'est aussi le dernier de la série à être tiré d'un roman de Villaggio ; les suivants seront directement écrits comme scénarios pour l'écran.
Milena Vukotic remplace Liù Bosisio dans le rôle de l'épouse de Fantozzi, ce qui se continue tout au long de la suite de la saga, sauf dans Superfantozzi.
C'est la première fois que la demoiselle Silvani, interprètée par Anna Mazzamauro, n'apparaît pas dans le scénario.
C'est le dernier film où le géomètre Calboni est joué par Giuseppe Anatrelli.