Il est le second en notoriété (après Eustache de Saint Pierre), qui se rendirent, « en chemise et la corde au cou », auprès du roi d'Angleterre Edouard III, pour implorer la grâce des habitants de Calais (août 1347). On peut penser qu'il était originaire du village éponyme, Wissant, non loin de Calais. Selon le chroniqueur Jean Froissart, le roi leur fit grâce à la demande de son épouse, Philippa de Hainaut[2].
Versions
La première des études de d'Aire était nue, suivie d'une partiellement couverte avec quelque chose comme une toge. Rodin a fait la version finie en 1886[3].