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Sa création fait suite aux revendications autonomistes des fédérations des DOM-TOM du PCF.
La fédération de Guadeloupe devient indépendante mais reste très fortement liée au PCF (ses élus nationaux siégeant dans le même groupe).
Liste des secrétaires généraux
Liste des secrétaires généraux du Parti Communiste Guadeloupéen
Ce parti défend une ligne autonomiste.
Sans appeler à rompre complètement les liens avec la France, il estime que l'intérêt de la Guadeloupe réside dans une plus grande marge de manœuvre dans la manière de conduire les politiques publiques locales.
Il demande ainsi à sortir du cadre du droit commun français et européen[4].
Élus
Élus nationaux
Le PCG a compté dans son histoire trois députés à l'Assemblée nationale.
Le pharmacien Paul Lacavé (de 1967 à 1973), l'avocat et cofondateur en 1944 du Mouvement communiste à la Guadeloupe Hégésippe Ibéné (de 1973 à 1978) et le professeur de lettres Ernest Moutoussamy de 1981 à 1991 (rejoint le PPDG).
Ainsi que 2 sénateurs, Marcel Gargar de 1968 à 1986 et Henri Bangou de 1986 à 1991 (rejoint le PPDG).
Le parti ne dirige plus (en 2017) que la commune de Port-Louis.
Mais 14 autres communes ont eu un maire PCG, dont la préfecture Basse-Terre de 1971 à 1991 (Jérôme Cléry) et la sous-préfecture Pointe-à-Pitre avec Henri Bangou de 1965 à 1991. Les deux rejoignant le PPDG en 1991.
Le parti ne dispose plus d'élus aux instances locales depuis 2015. Aux élections départementales, le parti a perdu ses deux sièges au conseil départemental[5], détenus par Jacques Kancel (Sainte-Anne) et Florent Mitel (Petit-Canal). De même, aux élections régionales, le parti se présente seul et n'obtient que 1 297 voix (0.92%), aucun élu. Jacques Kancel élu sortant ayant été élu sur la liste d'Éric Jalton en 2010.