Au début des années 2010, il bénéficie d'une mise en accessibilité, d'un renforcement de la sécurité et d'une réfection des façades et de certains bureaux. Le , le bâtiment rénové est inauguré par la garde des sceaux et ministre de la justice, Christiane Taubira[2].
Architecture
De style néoclassique, il présente une façade ordonnée, d'ordre dorique au premier niveau, ionique au second. Au fronton, la loi est appuyée sur la Justice, entourée de quatre autres allégories, figurant le Commerce, l'Industrie, l'Artisanat et les Arts, réalisation du sculpteur Louis-Victor Bougron[3]. Les grandes niches du premier étage abritent des statues de Charlemagne et de Napoléon[1], du même sculpteur.
Le palais est composé de deux bâtiments accolés sur 7 025 m2 de surface dans œuvre[4] :
le premier bâtiment (appelé vieux palais) est le bâtiment historique. Il regroupe la salle des pas perdus, les salles d'audience et des bureaux ;
le second bâtiment (appelé palais neuf) date de 1970. Il regroupe les services du tribunal.
Une tour carrée romaine a été découverte sous l'édifice.
Fonctions
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↑Le 19 novembre 2013, Fabienne Kabou, Parisienne, s’est rendue en train à Berck avec sa fille Adélaïde de 15 mois pour la noyer dans la mer. En juin 2016, elle est condamnée à vingt ans de réclusion criminelle pour infanticide. Rejugée en appel aux assises du Nord en septembre 2017, le jury reconnaît à nouveau l'altération de son discernement et la condamne à 15 ans de prison. cf. Éric Dussard, « Fabienne Kabou condamnée à 15 ans de réclusion criminelle en appel », sur courrier-picard.fr, .