C'est un ancien soldat, qui a servi dans l'armée populaire de libération pendant 17 ans[1] entre 1969 et 1986, avant d'être fonctionnaire du gouvernement[2].
Selon Robbie Barnett, professeur d'études tibétaines à l'université Columbia à New York, « Nommer un ancien officier à la tête du Tibet indique que la Chine perçoit désormais le Tibet sous l'angle du contrôle militaire »[4].
Padma Choling considère que le 14e dalaï-lama pourra revenir au Tibet quand celui-ci aura renoncé à l'indépendance du Tibet[5].
En , Padma Choling déclare qu'aucun Tibétain ne s'est immolé par le feu depuis les événements « manigancés par la clique du dalaï lama »[6].