Cette mission porte le nom de « double frappe » parce qu'elle impliquait que deux grandes forces de bombardiers attaquent des cibles distinctes afin de disperser la réaction de la chasse de la Luftwaffe. C'est aussi la première mission « navette », dans laquelle tout ou partie des aéronefs d'une mission ont atterri dans une région différente de celle d'envol avant de retourner à leur base.