Peu annoncé par la presse, il n'eut qu'un succès très relatif : 1 500 spectateurs se déplacèrent, parmi lesquels l'« avant-garde » de l'époque, comme Jean-Luc Godard ou Claude Lelouch[2]. Il reste néanmoins la première découverte du psychédélisme par le public français[1].
Notes et références
↑ a et b« Douce machine », Rock'n'Folk, no 29, (lire en ligne)