Les mouvements sont contraints par l'anatomie et en particulier par les caractéristiques du squelette et des muscles. Le cerveau joue un rôle important pour le contrôle de certains mouvements, mais de nombreux mouvements sont générés par des systèmes réflexes, pour le contrôle de l'équilibre notamment, en lien avec le système vestibulaire[5].
La dyspraxie est une altération de la capacité à exécuter de manière automatique des mouvements déterminés. À l'opposé, le syndrome de Gilles de La Tourette est un trouble caractérisé par des tics moteurs et vocaux.
Fonction motrice
Les fonctions motrices désignent les différentes structures qui participent à la mise en mouvement d'une partie du corps ainsi qu'au contrôle et à la régulation de ce mouvement[9],[10].
↑Cruveilhier, J. (1837). Anatomie descriptive (Vol. 1). Meline.
↑Gagey, O., Bonfait, H., Gillot, C., & Mazas, F. (1988). Anatomie fonctionnelle et mécanique de l'élévation du bras. Revue de chirurgie orthopédique et réparatrice de l'appareil moteur, 74(3), 209-217
↑Marey E.J. (1868) Du mouvement dans les fonctions de la vie. Germer Baillière 479 pages (lien Google livres).
↑Thompson, C. W., & Séguy, E. (1993). Initiation à l'anatomie du mouvement : [cinésiologie]. Éd. Vigot.
↑Calais-Germain B & Lamotte A (2014) Anatomie pour le mouvement : Bases d'exercices ; Éditions DesIris.
↑Bordier, G. (1980). Anatomie appliquée à la danse : le corps humain, instrument de la danse. Éditions amphora.
↑Richer P (1890) Anatomie artistique ; description des formes extérieures du corps humain au repos et dans les principaux mouvements. Plon.
↑ a et b(en + fr) B. Bioulac et P. Burbaud, « Fonctions motrices », EMC - Neurologie, vol. 1, no 3, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bPierre Rabischong (dir.) (préf. Madjid Samii), Anatomie compréhensive des fonctions motrices, Bruxelles, De Boeck Supérieur, (ISBN978-2-35327-237-2, lire en ligne [PDF]).