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Le mouton de choc, ou test d’impact, est un élément clé pour tester la compatibilité avec l’oxygène liquide. Ce processus est crucial pour garantir la sécurité lors de l’utilisation de matériaux en contact avec l’oxygène liquide.
Ces essais sont notamment très utiles pour contrôler une production de matériaux à destination d'un usage sous ambiance d'oxygène liquide, par exemple pour des sièges de vannes[Quoi ?].
Déroulement d'un essai
Préparation de l’échantillon : l’échantillon à tester est placé dans un godet en aluminium.
Remplissage : le godet est rempli avec de l’oxygène liquide, dont la température est de −183 °C[1].
Insertion du godet : le récipient et l'échantillon à tester sont positionnés dans une chambre de réaction propre.
Impact : un poids de 10 kg[2] est lâché verticalement à environ 1 m de hauteur sur un poinçon en acier inoxydable, préalablement refroidi à l’oxygène liquide. Il transmet l’énergie à l’échantillon à tester[1].
Observation de la réaction : l’objectif est de vérifier s’il y a une réaction (étincelle, détonation, etc.) au moment de l’impact.
Nombre d'essai : le test d'impact est répété sur 20 échantillons[1]. Si une inflammation se produit lors des 20 premiers tirs, 20 tirs supplémentaires sont nécessaires.
Classification de la compatibilité
Les matériaux ainsi testés peuvent être classés suivant 3 cas :
compatible : aucune inflammation détectée lors des 20 tirs ;
semi-compatible : une seule inflammation détectée lors des 40 tirs ;
non compatible : la série d'échantillons s'est enflammée plus d'une fois lors de la procédure de test.
Normes
Ce test est réalisé selon les normes EN 1797 ou ISO 21010, dérivées des normes ASTM D25-12 et ASTM G86. Il permet de visualiser si une réaction se produit lors de l’impact, ce qui est crucial pour évaluer la sécurité des matériaux en contact avec l’oxygène liquide.