Ingénieur, il part en coopération au Soudan où il travaille sur les systèmes de production locale d'énergie solaire, puis entre au Bureau Veritas où il s'occupe de certification de navires de transport de gaz.
Journaliste scientifique au Monde à partir de 1995[3], il y est l'auteur de nombreux articles et dossiers. De 2003 à 2006, il produit sur France Culture l'émission Science frictions. Puis il y anime Science publique, un magazine hebdomadaire de débat sur la science, la médecine, l'environnement, la technologie et son impact sur la société. En , il quitte le journal Le Monde et, tout en continuant son émission sur France Culture, il crée la Sarl VideoScopie Production, spécialisée dans la production de vidéos pour les sites Internet. En , il crée le blog En quête de science sur le site de France Culture.
Prise de position
Michel Alberganti défend l'exploitation du gaz de schiste en France sous condition, il propose « d'affecter une part des bénéfices générés à la constitution d’une filière solaire digne de ce nom, à financer les éoliennes en mer ou à développer les hydroliennes[4] », une prise de position qui appelle à rouvrir le débat et offre un pont entre le politique et l'économie, sans toutefois aborder le réchauffement climatique.
Publications
Le multimédia, la révolution au bout des doigts, Le Monde Éditions, 1997 (ISBN978-2-501-02600-0)