Marie Charrel commence sa carrière en 2006. Diplômée de l'Institut d'études politiques de Grenoble, spécialité économie sociale, et de l'IPJ, elle devient lauréate de l'académie Prisma[1]. Elle intègre ainsi la rédaction du magazine Capital.
Son premier roman intitulé Une fois ne compte pas est publié par Plon en 2010. Le livre reçoit un accueil enthousiaste de la critique[2],[3].
En 2013, Marie Charrel rejoint la rédaction du journal Le Monde pour suivre la politique monétaire internationale et l'économie européenne.
Son second roman, L'enfant tombée des rêves, publié en 2014 reçoit des critiques positives[4],[5].
Les Éditions Rue Fromentin publient Les Enfants Indociles en 2016[6].
Fleuve éditions publie les deux romans suivants de Marie Charrel en 2017 et en 2018 : Je suis ici pour vaincre la nuit. Yo Laur (1879-1944), un roman inspiré du destin de la peintre Yo Laur, aventurière, arrière-grand-tante de l'autrice, déportée à Ravensbrück et Une nuit avec Jean Seberg[7],[8],[9].
Les éditions Druide l'invitent à participer au recueil de nouvelles policières On tue la Une, diffusé en 2019 au Québec[13],[14].
Son sixième roman, Les danseurs de l'aube[15],[16],[17], paraît aux éditions de l'Observatoire en janvier 2021, inspiré de l'histoire vraie d'un couple de danseurs de flamenco des années 1930, un frère et un sœur séparés par le nazisme. Le roman est sélectionné pour le prix de la Maison de la Presse 2021[18] et le prix de l'Instant[19].
La même année, Marie Charrel publie un premier essai Qui a Peur des Vieilles ? aux Éditions Les Pérégrines. Cet essai interroge sur la place des femmes de plus de 50 ans dans notre société occidentale[20].
En janvier 2023, elle publie Les Mangeurs de Nuit aux éditions de l'Observatoire. Ce roman empreint de mythes et légendes, qui se déroule dans les grands espaces de Colombie Britannique, évoque la rencontre de Jack, un compteur de saumons, et Hannah, une fille d'immigrés japonais, au cœur de la forêt pluviale, où ils s'apprivoisent doucement. Marie Charrel reçoit plusieurs prix littéraires avec cet ouvrage.
↑« Florence Cestac, Caroline De Mulder, Rainer Maria Rilke, Leïla Slimani… Les brèves critiques du « Monde des livres » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )