Le , alors que Castelar perd une motion de confiance, il envoie une escouade aux Cortès, amenant leur dissolution et mettant ainsi fin au régime républicain.
Après le coup d'État de Pavía, Pavía convoqua tous les partis politiques, à l'exception des cantonalistes et des carlistes, afin de former un gouvernement d'union nationale, qui donna le pouvoir au général Francisco Serrano.