Métro est un quotidien international d'information gratuit, publié de mars 2001 à août 2023. Le présent article traite uniquement de sa version québécoise, un média multiplateforme disponible une fois par semaine, les mercredis, en version papier et sur Internet.
En , Transcontinental Inc., par l'entremise de sa filiale TC Media, en est devenue l'unique propriétaire[1].
En , Michael Raffoul, de l’entreprise Transmet Logistics & Metropolitan Media, s'est porté acquéreur des hebdomadaires montréalais de TC Media, dont le journal Métro[2],[3].
En 2021, le journal Métro subit un vent de changement. Il rajeuni son style en s'associant avec de nouveaux collaborateurs, en plus de lancer une nouvelle application gratuite. Cependant, le journal affirme que les versions papier seront toujours disponible, comme avant[4].
Diffusion
Le journal était disponible dans plus de 1 000 points de distribution du lundi au vendredi. L'édition montréalaise du journal international Metro, est une des seules à être imprimée français en Amérique. C'était également le quotidien le plus lu à Montréal (un million de lecteurs par édition[5]). Le journal a opté pour une édition hebdomadaire, paraissant le mercredi, à la fin de la pandémie de COVID-19 après plusieurs suspensions et changement de périodicité.
Son principal concurrent est 24H Montréal, publié par Québecor Média et également gratuit. Une entente d'exclusivité avec la Société de transport de Montréal (STM) a fait en sorte que seul Métro ait pu être distribué à l'intérieur des stations de métro jusqu'au . Par souci d'égalité, la STM a ensuite octroyé cette exclusivité à 24H Montréal pour cinq ans[6],[7] et le , l’octroi de la distribution de journaux gratuits dans les stations de métro pour les 5 prochaines années revenait à nouveau à Métro[8]. Depuis 2020, les deux journaux sont distribués dans les stations de métro de Montréal.
Type de présentoirs du journal visibles dans les lieux publics.
Fermeture
Le , Métro Média annonce la suspension de toutes ses publications[9]. Le 17 septembre, la société confirme que « la mise à pied temporaire sera donc maintenant une mise à pied définitive ». Quelque 70 employés, dont une trentaine de journalistes, perdent leur emploi[10].