Arrêté fin décembre 1942 par un contingent de la Wehrmacht alors qu'il tentait de franchir la ligne de démarcation (cette frontière intérieure divisait alors le territoire de son diocèse)[1], il prend froid et meurt de pneumonie dans une clinique de Bourges le [2].
Références
↑Christian Renoux, Dominique-Marie Dauzet et Frédéric Le Moigne (dir.), Dictionnaire des évêques de France au XXe siècle, Paris, Éditions du Cerf, (ISBN978-2-204-09041-4), « Fillon (Louis Joseph) », p. 262–263.