En , les avocates Liliane Glock et Dominique Boh-Petit, déposent concomitamment une procédure concernant les deux prisons de leur client afin de déterminer leurs conditions de détention. Elles considèrent que « toutes les obligations et normes en vigueur sont violées de manière flagrante par l'administration »[4].
En , au procès de Francis Heaulme concernant le meurtre de deux enfants à Montigny-lès-Metz en , elle a provoqué la révocation de MePierre Gonzalez de Gaspard par son client, quelques heures avant le début du procès[5]. Liliane Glock en a alors profité pour accéder au parloir, rencontrer Francis Heaulme et le convaincre de changer d'avocat[6],[7].
Avocate du Hamas en France, elle indique que cette défense peut être mal perçue[8]. Elle parvient, en , à le faire retirer de la liste européenne des organisations terroristes[9]. Le groupe y sera réinscrit quelques mois plus tard. Interrogée après l'attaque contre Israël le , elle affirme que « le Hamas est terroriste ou résistant suivant qu'on se réfère au droit européen » (le groupe étant sur la liste européenne des organisations terroristes) « ou au droit international » (le groupe s'opposant à la colonisation israélienne, qu'elle qualifie d'illégale au regard du droit international)[10].