L'essai fait suite à une discussion impromptue engagée par la duchesse Christine de Lorraine à la table des Médicis, en , concernant les rapports entre le système de Copernic et les Saintes Écritures. N'ayant pas assisté à la discussion, Galilée s'en est fait donner un compte-rendu par son ancien élève Benedetto Castelli[2]. Galilée saisit alors l'occasion de donner son opinion sur le sujet[3].
Notes et références
↑Maurice Clavelin, « Lettre à Mme Christine de Lorraine, Grande-Duchesse de Toscane. (Traduction de Fr. Russo) », Revue d'histoire des sciences et de leurs applications, nos 17-4, , p. 338–368 (DOI10.3406/rhs.1964.2372, lire en ligne)
↑ a et bYves Gingras, Peter Keating et Camille Limoges, Du scribe au savant : Les Porteurs du savoir de l'Antiquité à la révolution industrielle, Boréal, , 361 p., p. 238
↑(en) John Dietz Moss, « Galileo's Letter to Christina: Some Rhetorical Considerations », Renaissance Quarterly, vol. 36, no 4, , p. 547–576 (DOI10.2307/2860733, lire en ligne)