Son autobiographie, publiée à titre posthume en 1947, contient sa lettre d'adieu, rédigée la veille de son exécution. Ce sont les derniers mots qu'il a écrits. Dans cette lettre figure la phrase suivante : « Je crois toujours, cette nuit, que mon cher Paul Vaillant-Couturier avait raison de dire que le communisme est la jeunesse du monde et qu'il prépare des lendemains qui chantent », dont la fin donne son titre au livre[1].