Le Mort remontant est le dernier essai de Robert de Montesquiou[1], publié en 1922 chez Émile-Paul frères. L’ouvrage est consacré à Adrien Juvigny[2], né à Vouziers le 12 décembre 1849[3] et prématurément décédé à Paris le , à vingt-quatre ans[4]. Montesquiou étudie dans ce livre la biographie de Juvigny et cite des fragments de ses lettres à Paul Bourget et des extraits de ses œuvres inédites[5].
↑En 2024, la correspondance intégrale d’Adrien Juvigny avec Paul Bourget de 1869 à 1873, ainsi que des dizaines de poèmes et textes en prose de Juvigny ont été publiés dans : Correspondance croisée 1869-1873, op. cit. Les textes inédits de Juvigny se trouvent en annexe, p. 825-856.
↑On lira en accès libre les détails des archives qui détiennent les manuscrits de Juvigny dans les « Principes d’édition et règles de transcription » de la Correspondance croisée 1869-1873, op. cit., p. 108.
Maurice Bouchor, Félix Bourget, Paul Bourget, Georges Hérelle et Adrien Juvigny, Correspondance croisée 1869-1873, Michael Rosenfeld et Clive Thomson (éds.), Classiques Garnier, 2024, 908p.