Aile du type normal à double longerons, profil semi-épais. La partie centrale est à revêtement métallique. Les ailerons sont divisés en trois tronçons pour chaque demi-aile. Les nageoires sont articulées sur la coque et appuyées sur les mâts de cellule. Coque à deux redans ; la construction est du type longitudinal, elle est divisée par des seuils en 7 compartiments étanches.
Altaïr : Devant l'avancée allemande en , il est replié sur Biscarosse le , puis sur Port-Lyautey au Maroc le lendemain. Il retourne en métropole en rejoignant l'étang de Berre en septembre de la même année. Par la suite, il est affecté à l'escadrille E.4 de Dakar en . Faute de pièces détachées, il est réformé en .
Aldebaran : Immobilisé lors d'une révision en , il est sabordé dans la rade de Poulmic à l'approche des unités allemandes, le .
Algol : Le , il amerrit en urgence au large d'Ouessant suite d'une panne de carburant. En tentant de le remorquer, le torpilleur Boulonnais entre en collision avec l'hydravion qui, rendu irrécupérable, sera coulé au canon.
La numérotation jusqu'au 55/550 au moins peut varier pour désigner les versions ou dérivés : 29 = 29-0 = 29.0 = 290 puis 29-1 = 29.1 = 291, etc (exemple fictif)