Les Constitutions des Républiques italiennes sont calquées sur la Constitution modérée de 1795[4]. Elles se révèlent inopérantes, suscitant d’innombrables conflits entre exécutif et législatif ou entre les deux Chambres. Réactionnaires et extrémistes s’infiltrent dans les Assemblées représentatives. Les modérés, soutenus par les Français se préoccupent souvent plus de leurs intérêts personnels que de la chose publique, d’où d’innombrables accusations de corruption.
↑Louis Nigon de Berty, Histoire abrégée de la liberté individuelle chez les principaux peuples anciens et modernes, Moutardier, (présentation en ligne)