Le , il est condamné à un mois de prison pour avoir frappé un brigadier lors d’une action contre le tirage au sort des conscrits[1],[2].
Il est élu maire d'Aimargues le [2]. Ayant pris part à un mouvement de grève en 1910, il est suspendu de ses fonctions le , avant d'être révoqué par décret du ministre de l'Intérieur Aristide Briand le [3].
En 1911, il devient secrétaire adjoint du syndicat des travailleurs agricoles d'Aimargues[2].
Il redevient membre du conseil municipal avec l'élection du socialiste Louis Pioch en 1911. Il est élu adjoint[2].
« Un maire ouvrier au pouvoir », dans Pauline Cazalis (dir. Frédéric Rousseau), L'Anarchisme entre lutte sociale et prise de pouvoir : Aimargues (1900-1951) (mémoire de maîtrise en histoire), université Montpellier-III, 2001, p. 45-52 — consultable aux Archives départementales de l'Hérault (cote TAR 668).