D'abord avocat près la Cour d'appel puis notaire en principauté, il devient un homme politique et préside le Conseil national entre 1978 et 1993. Il est également président de la Commission des finances de la haute assemblée et membre de la Commission de placement des fonds[2]. Son fils Henry Rey lui succède à la tête de l’étude notariale ainsi qu’en politique, élu au Conseil national au sein du parti politiqueRassemblement pour Monaco.[réf. souhaitée] Son petit-fils Charles-Henri Rey est aussi clerc de notaire, et membre du conseil de régence de Monaco depuis mars 2024[3].
Jean-Charles Rey œuvre ainsi pour la Principauté à la fois politiquement, socialement et économiquement. Il contribue notamment grandement à la construction et l'aménagement du quartier du Larvotto, la construction du complexe de Loews et l'élaboration d'un traité de concession passé avec la Société anonyme pour le développement immobilier de Monaco (SADIM) pour l'élevation d'un terre-plein et du nouveau port de Fontvieille en 1965, puis à l'acquisition de ce terre-plein par l'État en 1973[2].
Le , le Conseil communal, délibérant en séance publique, adopte à l'unanimité une proposition pour renommer une voie de la ville à son nom. La maire Anne-Marie Campora propose, en accord avec le Gouvernement princier et la famille de Rey, le quai des Sanbarbani. Une cérémonie d'inauguration a lieu le pour la nouvelle plaque de rue du quai Jean-Charles-Rey sur la capitanerie du port de Fontvieille[2].
↑ ab et cAnne-Marie Campora, Journal de Monaco, « Mairie - Dévoilement de la plaque du « quai Jean-Charles-Rey » », Journal de Monaco, no 7367, , p. 1811-1812 (lire en ligne [PDF], consulté le )