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Johann Baptist (Jean-Baptiste) Wercollier, né à Grund le 28 juin 1868 et décédé à Luxembourg-Ville le 24 septembre 1946, est un sculpteur luxembourgeois[1].
Biographie
Jean-Baptiste ou Batty Wercollier est le fils du maître serrurier François Xavier (Franz) Wercollier et de Christine Molitor[2] À l'Athénée royal grand-ducal, il reçoit des leçons de dessin de Michel Engels et se lie d'amitié avec son camarade de classe Jean-Pierre Koenig. À treize ans, il entre chez le peintre décorateur Peiffer. La sculpture l'attire plus que le pinceau et il entre en apprentissage pendant quatre ans chez le sculpteur Pütz. Il travaille ensuite brièvement chez le marchand d'art Vout à Bruxelles, mais devient rapidement sculpteur sur bois dans l'entreprise luxembourgeoise Champagne. En 1888, il entre au magasin de meubles Schulz à Strasbourg. Entre 1890 et 1892, il séjourne à Paris ; en 1893, il obtient son diplôme de sculpture à la Kunstgewerbeschule de Karlsruhe. À la demande du ministre d'État Paul Eyschen, il revient au Luxembourg en 1894 et enseigne la sculpture sur bois à l'école du soir pendant trois ans.
Wercollier s'est surtout fait connaître par ses bustes et ses portraits en relief. Il est l'un des fondateurs du Cercle artistique de Luxembourg (CAL) en 1893, aux côtés des architectes Jean-Pierre Knepper et Jean-Pierre Koenig et des peintres Pierre Blanc, Michel Engels, Frantz Heldenstein et André Thyes, entre autres. En 1896, il épouse Margaretha Koenig, sœur de son ami d'enfance, l'architecte Jean-Pierre Koenig. Au Salon du CAL, il remporte avec Claus Cito le Prix Grand-Duc Adolphe en 1909[3] . En 1923, il participe au Salon de Nancy avec plusieurs artistes luxembourgeois, dont Pierre Blanc, Claus Cito et Rita Reining[4].
1914 dessin de la pierre tombale de Bernard Haal (1832-1913), fondateur du Gesellenverein luxembourgeois, sur le cimetière Notre-Dame de Luxembourg.
1916 portrait en relief du linguiste René Engelmann (1880-1915), pour sa tombe à Vianden.
1921 projet de portrait en relief de l'évêque Jean-Joseph Koppes (1843-1918) pour son épitaphe dans la chapelle du Glacis au Limpertsberg. Le monument a été conçu par le beau-frère de Wercollier, l'architecte Jean-Pierre Koenig. La sculpture a été réalisée par Ernest Grosber[6].
1924 Portrait en relief du cycliste François Faber (1887-1915) pour un monument au vélodrome près de la Villa Louvigny. Exécuté par Haagen.
1934 portrait en relief de Mgr Jean-Baptiste Fallize (1844-1933), évêque de Norvège, placé sur sa tombe au cimetière Notre-Dame de Limpertsberg.