Il est remis en liberté le , et le il rejoint la 10e division militaire. Le , il prend le commandement du département de l'Aude, et le il est accusé de recevoir la nuit des visites suspectes. Le , il est libéré des accusations qui pesaient sur lui, et le suivant, il demande son placement en congé de réforme. Le , il est démis de ses fonctions pour ivrognerie.
Docteur Robinet, Jean-François Eugène et J. Le Chapelain, Dictionnaire historique et biographique de la révolution et de l'empire, 1789-1815, volume 2, Librairie Historique de la révolution et de l’empire, 886 p. (lire en ligne), p. 184.
↑Anne Rolland-Boulestreau. Micro-histoire et terreur en province : itinéraire d’un « général incendiaire » en Vendée militaire (mars-juillet 1794). Annales historiques de la Révolution française 2015, no 381, p. 25-44. Lire en ligne
↑Jean-Clément MARTIN, Nouvelle histoire de la Révolution française, Paris, Perrin, , 636 p., p. 433