Bernardus de Bosch I (d), Portrait of Margaretha van Leuvenigh, Wife of Bernardus de Bosch (d), Portrait de Margaretha Trip, épouse de Hendrik van de Poll (d)
Il peint principalement des portraits de famille, des sujets allégoriques ou mythologiques et des portraits individuels, dont il a fait sa spécialité et a réalisé un grand nombre[2]. Le musée d'Amsterdam et le Rijksmuseum en possède plusieurs pièces[2]. Son fils Julius (1736-1776) est instruit par son père, mais abandonne l'art pour le commerce. Cependant, deux de ses tableaux sont conservés au musée d'Amsterdam[2].
Quinkhard est actif dans sa ville natale jusqu'en 1710, où il arrive à Amsterdam[1], et en devient un citoyen le [3].
Jan Maurits Quinkhard a collaboré avec Jacobus Houbraken et d'autres graveurs importants sur des estampes des personnalités riches et célèbres d'Amsterdam[4].
En 1718, il est l'un des fondateurs de la Stadstekenacademie à Amsterdam, l'école d'art du XVIIIe siècle à Amsterdam, précurseur de l'Académie Royale (créée en 1822) puis de la Rijksakademie (1870), actuelle académie royale des beaux-arts[1]. Il y a également enseigné[1].
(en) Michael Bryan, « Quinkhardt, Jan Maurits », dans Bryan's Dictionary of Painters and Engravers, vol. II (L–Z), Londres, George Bell & Sons, (lire en ligne), p. 334
