Ayant grandi dans une famille d'orfèvres — son grand-père maternel était graveur sur bois —, il s'intéresse dès 13 ans à la gravure et à la sculpture. Ses premières sculptures sont conservées au musée de Kiev. En 1910, il entre aux Beaux-Arts de Kiev où il fait la connaissance de Issachar Ryback et de Max Kaganovitch, qui deviendra son marchand quarante ans plus tard. Aidé par son père, Isaac Païles arrive à Paris en 1913.
Vita Susak, Les Artistes ukrainiens à Paris 1900-1939, (ISBN978-966-7845-72-8), p. 138.
(en + fr) Nadine Nieszawer et Arthur Princ, Histoires des artistes Juifs de l'École de Paris, 1905-1939 (Denoël, 2000 - Somogy, 2015), Les étoiles éditions, , p. 332-334.