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En arabe, le nom d'Imlil est امليل[1]. Le village homonyme de la commune est parfois surnommé « Petite Chamonix »[6].
Étymologie
En berbère, le terme « imlil » désigne une montagne enneigée, le village doit son nom au Djebel Toubkal, se situant à proximité.
Histoire
Le , le village essuie une terrible inondation liée à de fortes intempéries (pluie de 70 millimètres en 2 heures et demi à peine), dans laquelle 150 personnes (dont 20 à 60 touristes) y laissent la vie[7]. En 2000, le village ne s'était toujours pas remis des dégâts économiques causés par ce cataclysme.
En , deux jeunes femmes — une Danoise et une Norvégienne — sont assassinées près du village d'Imlil par des partisans de l'État islamique[8],[9]. L'ONG l'Observatoire national de lutte contre la corruption et pour la protection des deniers publics propose alors de rebaptiser le site touristique avec les prénoms des deux victimes “Louisa et Maren”[10].
Le village est rattaché à la commune d'Asni, province d'Al Haouz.
Boujloud
L'homme à la toison, Bilmawn en berbère (chleuh), Boujloud en arabe[11],[12], est le nom d'un personnage carnavalesque, qui revêt la dépouille de la bête sacrifiée (lors de la fête musulmane du Sacrifice), et durant deux jours participe d'un rite archaïque, encore vivace dans cette partie du Haut-Atlas. L'anthropologue Abdellah Hammoudi l'étudie dans son La Victime et ses masques (1988)[13],[14],[15].
↑Baduel, Pierre-Robert, « Hammoudi Abdallah, 1988, La victime et ses masques. Essai sur le sacrifice et la mascarade au Maghreb », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 52, no 1, , p. 301–301 (lire en ligne, consulté le ).