À la suite des élections générales de mai-juin 1920 dans la Grande Roumanie, il est élu député au Parlement, battant le candidat allemand par une majorité de seulement trente voix[3].
Sa carrière politique est liée au mouvement socialiste. En 1917, il se joint à Mayer Ebner pour fonder le Conseil national juif à Tchernivtsi[4]. En tant qu'avocat, il plaide pour les accusés lors du "Procès des 500" qui a suivi l'important soulèvement de Tatarbunary en 1924.
Il meurt subitement en 1930 à Bucarest à l'âge de 49 ans[5].
(ro) Hary Kuller, « Pistiner, Iacob », dans Evrei din România : breviar biobibliografic, Hasefer, , 461 p. (ISBN9789736301889, lire en ligne), p. 297
(de) Deutsche Rundschau, Gebrüder Paetel, (lire en ligne), p. 186
(en) Raphael Vago, Paul Cernovodeanu, Liviu Rotman et Judy Krausz, The History of the Jews in Romania : Between the two world wars, Goldstein-Goren Diaspora Research Center, Tel Aviv University, , 352 p. (ISBN978-965-338-067-7, lire en ligne), p. 286
(es) Eduardo Weinfeld, « Pistiner, Jakob », dans Enciclopedia judaica castellana : El pueblo judio en el pasado y el presente; su historia, su religion, sus constumbres, sus literature, au arte, sus homibres, sus situacion en el mundo, vol. 8, Editorial Enciclopedia Judaica Castellana, (lire en ligne), p. 462