Tout laisse à penser que l'évêque apostasie et rejoint le protestantisme. Il se retire non pas à Genève comme son neveu François Bouchard, mais en Angoumois avec sa concubine, Tiphaine Perrot. Leurs deux fils naturels, Pierre, futur seigneur des Plassons, et François sont légitimés en , peu après la mort de leur père le [2].
Notes et références
↑R.P. Charles-Louis Richard et Giraud, Bibliothèque sacrée ou Dictionnaire universel, historique, dogmatique, canonique, géographique et chronologique des sciences ecclésiastiques, Paris, 1827, tome XXIX, p. 57.
↑L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, Édité en le 29/12/1903 colonnes 400-401.