Guillaume Corbeil commence son parcours académique en droit, avant de s'orienter très rapidement vers des études en lettres. Il réalise un baccalauréat ainsi qu'une maîtrise en création littéraire à l'UQÀM qu'il termine en 2007[2]. Puis, il obtient diplôme en écriture dramatique de l'École nationale de théâtre du Canada en 2011[3].
En 2010, Guillaume Corbeil est chargé de rédiger la biographie de l'homme de théâtre québécois André Brassard à la suite du retrait de Jean Fugère. L'ouvrage intitulé Brassard est lancé en aux Éditions Libre-Expression[6],[7].
En 2012, l'auteur s'essaye au théâtre avec Nous voir nous (Cinq visages pour Camille Brunelle) une production du Théâtre PÀP. La pièce est mise en scène par Claude Poissant et jouée à l'Espace Go[8]. Cette pièce vaut à l'auteur le prix Michel-Tremblay, le prix du meilleur texte original de l’Association des critiques de théâtre du Québec (AQCT), et le prix du public au Festival d’écriture dramatique contemporaine Primeurs à Sarrebruck en Allemagne[9].
La pièce Unité Modèle termine la trilogie entamée par l'auteur en 2012, avec Cinq visages pour Camille Brunelle (Nous voir nous). Elle est présentée en 2016 au Centre du Théâtre d'aujourd'hui et poursuit sa critique de la société de l'image[11].
Guillaume Corbeil publie en , aux éditions Le Quartanier, un recueil de contes intitulé Trois princesses où il aborde la question de l'exploitation de l'image des femmes dans les contes pour enfant Cendrillon, La Belle au bois dormant et Blanche-Neige. Marc Larivière en réalise les illustrations[12].
Romans, théâtre et biographie
L'Art de la fugue, Québec, L'instant même, 2008.
Pleurer comme dans les films, Montréal, Leméac, 2009.