Dans Petite histoire de la révolution française, publié en 2015, les auteurs imaginent, en parallèle du texte qui dépeint la Révolution de 1789, une révolution à l'époque contemporaine, qui développe une utopie politique, un pouvoir exercé localement en démocratie directe[2]. Ce livre a fait l'objet d'une exposition présentée en 2017 au Festival d'Angoulême[3] puis à Poitiers[4]. En parallèle de sa diffusion en librairies, il est publié intégralement en épisodes sous licence libre Creative commons sur le site Médiapart[5].
Jarry commence à réaliser des romans-photos dans les premiers numéros de la revue FLBLB rassemblés dans L'Os du gigot (éditions Ego comme X, 2004) avec une préface de Jean Teulé. Savoir pour qui voter est important est publié en 2007 chez FLBLB, suivi par Ça va pas durer longtemps mais ça va faire très mal en 2017 (nommé pour le Gro Prix littéraire du festival Fifigrot 2018[9]). Jarry réalise également des romans-photos pour la presse : fictions jeunesse (Qui veut la peau des Ferchaux, en collaboration avec le dessinateur Anthony Pastor, J'aime lire Max, 2015), récits de voyages (Le grand voyage en Amérique latine, avec Nicole Augereau, publication par épisodes en 2017 dans Biscoto ; Voyage en Asie, avec Nicole Augereau, en 2018 dans GEO Ado) ou docu-fictions (Les derniers jours de Bernard Arnault, dans Le Monde diplomatique en bande dessinée, en collaboration avec François Ruffin, 2010 ; Les Bourrinologues, avec Nicole Augereau et Lucie Castel, GEO Ado, 2021 ; Ce sera mieux après, revue Oblik, 2022).
En 2015, il publie un pamphlet intitulé Debout le roman-photo !. Jarry encourage à s'emparer du roman-photo comme de n’importe quel autre moyen d’expression[10].