Un Grand Prix de l'U.M.F. est organisé en au Mans, puis tous les ans de 1920 à 1923 durant la deuxième quinzaine de septembre au même endroit, pour des cyclecars seulement. En 1927, durant le Grand Prix de Boulogne, Arthur Duray alors en fin de carrière gagne le Grand Prix de l'U.M.F. qui est monté pendant la course de Formula Libre, mais pour les cyclecars[2]. En 1934 et 1935, à Montlhéry, les premier et deuxième Grand Prix de l'Union Motocycliste Française sont organisés, désormais exclusivement pour des Formule Libre, au début du mois de septembre puis de celui de juin.
En 1913 la distance est de plus de 270 kilomètres, puis de 1920 à 1923 elle passe de 273 à 397 kilomètres. En 1934 le circuit de 5 kilomètres est à boucler 18 fois, soit 90 kilomètres. En 1935 il passe à 6,3 kilomètres, d'où une distance de 88 kilomètres après 14 tours.
Robert Benoist vainqueur du Grand Prix automobile de l'U.M.F. Cyclecars au Mans en 1922, sur Salmson VAL.
Lucien Desvaux, deuxième du Grand Prix automobile de l'U.M.F. Cyclecars au Mans en 1922 sur Salmson VAL.
Concurrents du Grand Prix de l'U.M.F. 1934 (cyclecars).
Raymond Sommer à Montlhéry sur une Alfa Romeo Monza 2,3l (ici donc deux ans plus tôt, en 1933).
À noter
Le Grand Prix de l'U.M.F. motos est remporté en 1924, 1925, 1927 et 1929 par le constructeur Monet-Goyon, avec sa « ZS » à moteur Villiers de 175 cm3 (à double échappement). En 1935 il en est à sa dix-septième édition.