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Au cours du scrutin, le chef de l'État sortant décide de se représenter. Le second tour voit s'opposer Anastasiádis, candidat du DISY, et Stávros Malás, candidat de l'AKEL. Le conservateur s'impose alors largement, totalisant plus de 56 % des voix.
Il entre en fonction le et nomme son gouvernement le lendemain, qui compte 7 indépendants et une femme sur 11 ministres. Contrairement au premier cabinet d'Anastasiádis, ce dernier ne bénéficie du soutien que d'une seule autre force politique, qui ne dispose d'aucun ministre.
Évolution
Le chef de l'État procède le à un remaniement ministériel, qui voit notamment le départ du ministre des Finances Kháris Georgiádis au profit du ministre de l'Intérieur Konstantínos Petrídis. Les ministères de l'Éducation et des Transports sont également concernés[1].
Succession
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